Tatiana est une blogueuse qui m'a séduit avec ses recettes. Je bave constamment sur ses plats avant de les préparer pour Noir Reflets même comme c'est pas facile (rire). Il y a environ deux semaines elle m'a dédié le prix de l'arte y pico. . Afficher...
A l'âge de quinze ans, Lyndi avait découvert par l'attitude de sa famille adoptive qu'elle avait été recueillie dans un orphelinat. L'atmosphère était désagréable car, ceux qu'elle considérait comme ses frères et soeurs ne cessaient de lui rendre la vie...
Vive ce jour , de l'étoile filante, Où la chance vint combler mon coeur, En guidant mes pas vers ton chemin, Parfumé d'une rose ensorcelante. Et sur notre tableau couleur carmin, Les oiseaux de paix chantaient en choeur, Une magnifique note troublant...
Des larmes coulent ,puis un petit ruisseau, Entouré ,d arbres, de jolies pivoines , Symbole ,de prospérité, de bonheur. Je caresse l'eau, pour tourner la page... Déposer ma haine, recouvrir mes maux.
Coucou ...! Je suis là malgré les intempéries. Bref permettez de vous offrir virtuellement cette carte faite avec beaucoup d'attention pour ceux ou celles qui se sentiront, touchés(e), voire émus(e). La vie n'est pas toujours rose, mais je ne vous oublie...
Le temps est morose, Sur ce chemin triste, Ni fleurs , ni fléiste, Et pourtant, en prose, Chantent des pas, Un regard, un appât, Tout devient rose, Le temps s'embéllie, C'est Jules et Julie
Mon coeur bat, Il bat la chamade. Mes yeux clignent, Ils clignent l'incertitude. Mon esprit est faible, Il est faible de ton absence. Mon âme tremble, Elle tremble de ta présence. Mon corps brûle, Il brûle d'amour. D'amour pour toi.
Ni beau, Ni laid. Rien qu'un coeur, Pour m'aimer, Une oreille Pour m'écouter, Des épaules Pour mes larmes. Ni beau, Ni laid. Rien qu'un ami, Pour mes joies, Un compagnon, Pour la vie. Et pour moi, C'est si fort. Ni beau, Ni laid. Un cadeau, Un ange.....
Un flot de vibrations...! elle est fébrile. Quel cauchemar ! son talon d' Achille. C' était sa pupille, c' était son île. Dans les cumulus, au septième ciel. Chante une prose de la vielle. Des remords exceptionnels
Sous sa jupette en cristal, Il respirait le parfum, Des cocotiers, Miraculeux, De son île D'éden, Autour d'un doux plaisir, Animé d'une mélodie, Des lacustres. D'amours, Pour Lui, Et elle.
L' amoureuse... Folle de lui, Gagne des jours , A suivre ses pas, Et perd des nuits, Pour son retour. Fade, Elle en souffre, Les lèvres , En extase, Elle désire, Un baiser, Juste, un baiser... De lui.
Une cornée, Un regard , Des yeux bleus, Et marrons. Un, deux, trois. Ils font un... Puis une main. Du tango... Un sourire, Une caresse, Des baisers... Une nuit voluptueuse.
Les sédiments se fragmentaient... Et je ressentais mon coeur vibrer. Encore un tremblement de terre ! Non ! C'est mon coeur, Qui venait de mourir.
Genèse, Une candide, Belle et douce. Puis, Des choux bleus, Ses amours s'envolent. Adieu ! Une aigri, Acariâtre et méfiante.
Pour toi, J'ai eu l'envie de renaître. De défier toutes mes peurs, Toutes mes horreurs. De marcher sur des grattes-ciel, En arc-en-ciel. De devenir dans l'océan, Une maîtresse de céans. D'attendre à la brune, Pour crier à la lune Que je t'aime...
Des amours assoiffés, Sous la grotte étouffée, De leurs cocufiés bluffés, Tortillaient leur corps en fée, Sur les débris de trophée, Déposés par le grand phé, Pour découronner le buffet, De son envoûtante ébouriffée, Dans les bras de ce morphee.
Phé de l'amour, Je vous appel au secours. Déesse de la lune, Je vous attend à la brune. Sabres du bonheur, Respectez ma candeur. Vices de la terre, Épargnez moi du mystère. Fruits de l'humour, Remplissez ma cours, Triste aux vautours.
Juste pour vous faire un câlin avec ce p'tit bisou ...en vous souhaitant un bon dimanche et bon début de semaine. Welcome, bienvenue , bienvenidos à tous les nouveaux chez les blogueurs car, ici on partage les mots comme les maux... Biseees à tous.
Ne laissez plus les autres décider ... Agissez avant qu'il ne soit tard. Je vous écoute...
Croyez vous aux songes prémonitoires ?
Une aile saignante, Fini ! Le voyage, La plume fébrile, Vole en larmes, Vers les hommes, De leurs méfaits, Sur la terre. Mythe de la pudeur, Fini ! La paix, Du rouge coule, Dans tes veines, Pas de goutte noire, De leurs armes, Sur les pôles.
Un pas sans vent, Deux pas ni pluie, Désert ardent, Chair inouïe, Seul tout dolent. Un pas sans vent, Deux pas ni pluie, Soleil brûlant, Vie noire, Seul et mourant.. Le solitaire, Seul tout dolent, Seul et mourant.
(Esclaves dansant le Maloya ...) Sous l'azur, Des buées de fumée, Voyageant en fil, Au goût parfumé, Du feu, la braise. Des tams-tams, Au son des ancêtres, Des pieds nus, Sur le sable, émouvant de joie. Ils dansaient, En chantant, Des tissus volants,...
Du jour au lendemain, Tragique parchemin. Un adieu sans demain, Du noir sur son chemin. Elle cherchait de sa main, Son esprit surhumain, Dans son duralumin.
D'un geste habituel, Pour ôter son clavaire, Il la tenait en duel, dans le bled en verre, Pour chanter le rituel, De son amour lunaire, Toujours sensuel, Au baiser ouvert, Du toucher manuel. De sa rose linéaire.